Copio a continuación las sumillas de las ponencias presentadas en el Coloquio de Marília sobre Kant y la música. En ellas se puede apreciar un importante abanico de análisis en torno a la relación entre el filósofo de Königsberg y los más diversos intereses musicales de los ponentes. PROGRAMAÇÃO CIENTÍFICA
9/11/2009 (segunda-feira)
20.00 Abertura oficial
20.30 Conferência de abertura:
Peut-on parler d'une esthétique kantienne?
Expositor: Ricardo Ribeiro Terra (USP)
Coordenador: Ubirajara Rancan de Azevedo Marques (Unesp)
10/11/2009 (terça-feira)
9.00 Conferência:
La "unüberschreibare Stimme der Vernunft" et la "Melodie des besonnenen Lebens" - la musique dans la pensée de Kant et de Schopenhauer
A première vue, l'importance de la musique dans la pensée de Kant et celle dans la pensée de Schopenhauer ne semblent guère assimilables : d'un côté, le philosophe rationaliste qui considère la sensualité du son comme antipode potentiel d'une connaissance claire et réfléchie, de l'autre, le philosophe du vouloir pour lequel la musique exprime la signification de la vie d'une manière même plus adéquate que la philosophie. Dans la mesure où Kant estime la capacité musicale avoir peu d'importance quant au fondement de la moralité humaine - le sujet capitale de sa philosophie -Schopenhauer estime la musique être d'une importance philosophique extraordinaire en tant qu'expression immédiate de la volonté qui est l'essentiel même. Cependant, les métaphores mentionnées dans le titre démontrent que les deux penseurs, malgré leurs positions divergentes, voient un lien entre la conscience réfléchie de l'homme - capable de la moralité -et sa faculté sensuelle d'entendre et de produire des sons - capable de la musique. La « corporalité » du son est le garant de la certitude, parce que - selon Kant ainsi que pour Schopenhauer - la certitude de la connaissance a besoin de l'expérience basée sur la sensation. De cette manière, la « voix » de la raison kantienne assure la conscience morale personnelle, mais surindividuelle; la musique- ainsi que l'idée, selon Schopenhauer - transmet la compréhension indubitable du vouloir vivre à susceptible de transcender l'individualité à vers l'identité générique.
Expositora: Margit Ruffing (Johannes Gutenberg-Universität Mainz)
9/11/2009 (segunda-feira)
20.00 Abertura oficial
20.30 Conferência de abertura:
Peut-on parler d'une esthétique kantienne?
Expositor: Ricardo Ribeiro Terra (USP)
Coordenador: Ubirajara Rancan de Azevedo Marques (Unesp)
10/11/2009 (terça-feira)
9.00 Conferência:
La "unüberschreibare Stimme der Vernunft" et la "Melodie des besonnenen Lebens" - la musique dans la pensée de Kant et de Schopenhauer
A première vue, l'importance de la musique dans la pensée de Kant et celle dans la pensée de Schopenhauer ne semblent guère assimilables : d'un côté, le philosophe rationaliste qui considère la sensualité du son comme antipode potentiel d'une connaissance claire et réfléchie, de l'autre, le philosophe du vouloir pour lequel la musique exprime la signification de la vie d'une manière même plus adéquate que la philosophie. Dans la mesure où Kant estime la capacité musicale avoir peu d'importance quant au fondement de la moralité humaine - le sujet capitale de sa philosophie -Schopenhauer estime la musique être d'une importance philosophique extraordinaire en tant qu'expression immédiate de la volonté qui est l'essentiel même. Cependant, les métaphores mentionnées dans le titre démontrent que les deux penseurs, malgré leurs positions divergentes, voient un lien entre la conscience réfléchie de l'homme - capable de la moralité -et sa faculté sensuelle d'entendre et de produire des sons - capable de la musique. La « corporalité » du son est le garant de la certitude, parce que - selon Kant ainsi que pour Schopenhauer - la certitude de la connaissance a besoin de l'expérience basée sur la sensation. De cette manière, la « voix » de la raison kantienne assure la conscience morale personnelle, mais surindividuelle; la musique- ainsi que l'idée, selon Schopenhauer - transmet la compréhension indubitable du vouloir vivre à susceptible de transcender l'individualité à vers l'identité générique.
Expositora: Margit Ruffing (Johannes Gutenberg-Universität Mainz)
